« Que je voie ton visage »

40 jours pour dépasser nos fausses images de Dieu

Ce lieu est modéré par l’équipe de la retraite. Nous vous conseillons d’y déposer un ou deux fruits de vos prières, des messages relativement courts, sans chercher à vouloir tout dire ou à rendre compte de tout. Partager, par exemple, une difficulté, une question ou une demande d’éclaircissement, faire part d’une lumière reçue pendant un temps de prière, évoquer tel événement de la journée qui a pris un relief tout particulier durant le temps de retraite…

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1456 messages.
Mamiannie Mamiannie de Montpellier a écrit le 16 avril 2022 à 8h56
Je recherche le silence pour ressentir ta Présence .Je réclame des signes dans ce corps à Corps./Ô vrai corps de Jésus/Immolé pour nous sur la Croix/Toi dont le côté transpercé /Laisse jaillir le sang et l'eau. /Nous t'adorons, nous te contemplons./Fais-nous goûter la joie du Ciel/Maintenant et au combat de la mort!/Ô doux Jésus, Ô fils de Marie/Noust'adorons et nous te contemplons/ Ô doux Jésus.
Mamilote Mamilote de Frontignan a écrit le 16 avril 2022 à 8h54
Hier, experience du silence. Tenir juste la main de ma belle-mère en plein délire. La main du psychologue sur son épaule. Juste deux minutes sans parler. Sans la raisonner. Instant de communion malade aidants ? Le silence comme un baume sur trop de souffrance. Le silence comme marqué de respect. Jesus tu me parles dans ces silences.
Anne Anne de Guingamp a écrit le 16 avril 2022 à 8h44
Cette Sainte Nuit, Seigneur, mon sommeil était tout léger, tu m'as accompagnée à découvrir et écouter "Rien qu'un souffle" d'Anael Pin. Cette Sainte Nuit, tu étais là présent dans ce psaume murmuré, tel un souffle d'amour dans le silence de la nuit. Je t'aime.
Marie Marie de Aurons a écrit le 16 avril 2022 à 8h33
"Dans le silence de mon coeur, je me donne à Toi, mon Seigneur" Merci pour cette communion
Josette Josette de Châteaurenard a écrit le 16 avril 2022 à 8h33
En 1966, paraissait, à Tokyo, "Silence" de l'écrivain japonais Shûsaku Endô, édité en français en 92. J'étais très jeune à cette époque et cette expérience du silence de Dieu, racontée par l'auteur, m'a marquée à vie. Oui, Dieu se tait, et nous sommes tendus par l'attente.
Adèle Adèle a écrit le 16 avril 2022 à 8h24
Je ne dis rien, je veille La douleur ou la grâce du silence en cette belle méditation du Samedi Saint. Merci
Catherine Catherine de Quebec a écrit le 16 avril 2022 à 8h01
En ce jour Seigneur je te confie toutes les personnes souffrantes qui ne te connaissent pas ou n'osent pas aller vers toi pour y puiser l'espoir, la vie, le réconfort. Que ton Esprit veille sur eux et les guide.
Marie-Cécile Marie-Cécile a écrit le 16 avril 2022 à 7h54
Le silence : Merci de nous avoir partagé ce qu'est le silence pour diverses personnes ; que ces diverses expériences de silence habitent nos propres silences pour une communion intense avec tous nos frères et soeurs.
Marie-Cécile Marie-Cécile a écrit le 16 avril 2022 à 7h54
Le silence : Merci de nous avoir partagé ce qu'est le silence pour diverses personnes ; que ces diverses expériences de silence habitent nos propres silences pour une communion intense avec tous nos frères et soeurs.
Mathilde Mathilde de Lahonce a écrit le 16 avril 2022 à 7h41
Je t'attends Seigneur....
Pascal Pascal a écrit le 16 avril 2022 à 7h00
Dans le silence, je te cherche sans fin.....Paix, joie, confiance...
Monique Monique de Montréal a écrit le 16 avril 2022 à 2h14
Merci Seigneur Jésus d'avoir accepté de souffrir et de mourir d'une mort atroce pour me laver de mes péchés. Je te rends grâce parce que dans ta grande Miséricorde tu m'as fait le privilège de te connaitre à travers les pasteurs que tu as mis sur mon chemin. Sois bénis Seigneur Jésus.
Colette Colette de Gesves a écrit le 15 avril 2022 à 20h34
Seigneur, Tu as tant souffert pour moi et pour tous les hommes ; je veux faire ma petite part et être près de toi.
Eddy Eddy de Amiens a écrit le 15 avril 2022 à 18h40
En écoutant les compositions de Bernard Salles, un appel de douleur m'est revenu à la mémoire. Je vivais rue De Merodelei à Berchem. Certaines nuits, une vieille dame hurlait. Elle appelait sa mère dans un cri qui nous déchirait l'âme. Le camp la rattrapait dans son sommeil. Un matin, j'ai demandé à mon ami Yonah pourquoi personne n'évoquait jamais cette lancinante souffrance. Il m'a répondu que seul Dieu pourrait nous éclairer sur son propre silence. Le pourquoi absolu, le seul qui ait du sens, lui appartient. Pourquoi ? Amour, abnégation, sacrifice, abandon, punition, pardon ? Pourquoi, Seigneur ? Une chose est certaine, la douleur ne t'est pas inconnue. Ton incarnation nous rapproche. Et la promesse est à ta mesure, promesse de la résurrection de toute chair, car pour toi, ce qui est perdu peut être retrouvé, et ce qui est tordu peut être redressé. C'est l'essence même de la nouvelle alliance. Seigneur, je te rends grâce pour la conversion que tu opères en moi.
Marie Marie de Antananarivo a écrit le 15 avril 2022 à 16h24
Ce vendredi j'étais aux obsèques d'une tante de confession protestante. Je me rappelle l'intention de prière pour l'unité des chrétiens, "tous les hommes qu'un seul baptême a consacrés".