« Que je voie ton visage »

40 jours pour dépasser nos fausses images de Dieu

Dès les premiers temps du christianisme, l’image du bon pasteur s’est imposée comme symbole des chrétiens, avant même celui de la croix. On peut en voir des vestiges dans les catacombes de Rome par exemple. Avec l’élection de Jose Maria Bergoglio comme successeur de saint Pierre, le monde a découvert l’étonnante croix épiscopale du pape François. Un pasteur entouré de ses brebis, portant sur ses épaules un agneau. Avec l’image du Bon Pasteur, l’exigence est du côté du berger qui n’aura de cesse d’aller au secours de la brebis perdue. Cette exigence, elle n’est pas à porter du côté de la créature, mais du créateur.

Face à cette image, il y a celle de ce Dieu exigeant qui ressemblerait à s’y méprendre à nos pires cauchemars d’école, ceux d’avoir un enseignant, une professeur tyrannique, qui exigerait plus que nous pourrions faire. C’est nier la réalité : les enseignants se placent au service de la croissance des étudiants et des élèves. Et s’ils font part d’une exigence, c’est avant tout celle de transmettre et de rendre les élèves capables d’autonomie intellectuelle… et toujours au rythme de l’élève. Comme le Christ !

Les propositions

Voici 4 propositions pour découvrir et développer ces images de Dieu. Tous ces supports sont indépendants, vous pouvez choisir de suivre la ou les propositions qui vous parlent le plus selon le temps dont vous disposez et vos envies. Cliquez sur les icônes pour accéder au contenu.

 

Méditer avec le sacrifice d’Isaac

Contempler Le bon Pasteur
de Sieger Köder

Méditer avec la brebis perdue

Découvrir et méditer avec une publicité et un court métrage